Témoignage écrit de Juan Cruz Garcia quelques semaines après son retour d'Argentine fin Août 2015

 

J'écris avec des larmes dans les yeux pendent qu'il y a un an, l'avion qui m'a lancé à aventure est en train de atterrir dans le sol français .
Je fais face à cette mélancolie. Ce nouveau sentiment qui est en moi. Il y a exactement 365 jours, un an, je suis arrivé en France, et aussi, ça fait un mois que je suis retourné en Argentine.
Les 11 mois que j'ai vécu en France se sont passés comme s'il...s étaient un second. Les gens me demandent comment c'était et moi, je sais pas par où commencer. C'est un peu impossible résumer 11 mois dans une phrase. Tout le monde pense qu'être dans un autre pays avec 17 ans c'est la fête, mais personne sait toutes les choses que j'ai affronté. Personne sait ce que j'ai senti le premier jour des cours, et voir tout le monde s'embrasser et moi, tout seul sans savoir que faire. Personne sait le sentiment de voir des photos de ta famille ou tes amis en faisant la fête et l'un rêve d'être avec eux. Personne sait le sentiment d'arriver dans une maison avec des étranges et assimiler qu'ils seront ta famille pendant 3 mois. Mais après, le sens du mot "famille" commence à grandir, maintenant famille c'est toutes les personnes qui sont arrivés dans mon cœur.
Je peux pas décrire combien est grande ma tristesse, en pensant que un an avant je me suis lancé à la meilleure expérience de ma vie, telle comme un échange culturel.
J'ai que des mots pour remercier à chaque famille qui m'a accueilli (Sartorius, Paternoga, Saielli, Dollat et Lubrez), à chaque personne qui m'a beaucoup aidé, à la classe 1ES1 au Lycée Kernanec, et surtout, à la meilleure famille que j'ai eu: la Ch'Team, à ses 33 amis de partout dans le monde que tous ensembles on a formé une belle famille, j'ai remercie aussi au Rotary Club de Linselles pour m'avoir choisi et pour leur démontrer l'envie que j'avais de faire l'échange, chaque fois qu'ils m'ont dit que j'étais leur meilleur étudient qu'ils ont eu m'a fait trop de plaisir, aux chairmans qu'ils étaient là à chaque fois que j'avais une question. J'ai remercie encore à ma famille biologique pour me donner l'opportunité de le faire et pour croire en moi.
Dans ma tête il y a que des bons souvenirs, des lieux insolites, des photos, des vidéos, des fêtes, des bons voyages, des rires avec tout le monde, des personnes qui m'ont dit que j'avais un français super bon, et parfois il avait des personnes qui ne m'ont pas cru que j'étais un étranger, et beaucoup des choses que ne peuvent pas être écrites mais qui sont présentes en moi.
Les second étaient des minutes, et les minutes sont devenus des mois, et comme ça... Cette aventure est arrivée à la fin, une fin que j'ai pas vu à l'approche, et que c'est difficile encore aujourd'hui d'assimiler. C'est incroyable comme un petit papier appelé "BOARDING PASS" peut briser ton cœur en millions des morceaux, et chaque morceau est parti partout dans le monde avec chaque ami que j'ai fait pendant mon séjour.
La douleur de vivre dans deux lieux différents c'est affreux, mais c'est le prix pour tout ceux qui j'ai gagné. Mais si j'ai l'opportunité de le faire encore, je ne vais pas m'opposer.
La vie d'un étudiant d'échange ce n'est pas aussi bonne toujours, parfois il y a des choses qui ne sont pas dans le bon moment. Pourtant, ça blesse encore mon jeune cœur en pensant que je suis pas dans mon deuxième pays, la France que me manque tellement.
J'ai appris beaucoup des choses qui m'ont fait une meilleure personne, plus forte, qui voit la vie d'une autre perspective, plus tolérante, une personne que maintenant sait écouter, penser puis parler, et aussi j'ai appris une belle langue, telle comme le français.
Je suis triste mais aussi fier de moi même, et maintenant, après un an, il est en moi l'envie de retourner et de revoir à tout le monde.
Comme j'ai fait la dernière fois que suis allé à Lille, je embrassé le sol lillois en disant, "JE RETOURNERAI, JE NE SAIS PAS QUAND, MAIS JE TE PROMETS, JE RETOURNERAI"
"Lille ma ville, Lille ma vie"
La France, à jamais dans mon cœur.